le coeur s'éteint
Tout doucement, la vie appuie sur l'interrupteur et le coeur s'éteint......
Lui ,qui pourtant s'emballait au moindre tourment, on l'entend qui halète, fatigué et contraint,
de n'être plus qu'un souffle, qu'un murmure, que le triste refrain d'une chanson oubliée.
Lui ,qui pourtant s'emballait au moindre tourment, on l'entend qui halète, fatigué et contraint,
de n'être plus qu'un souffle, qu'un murmure, que le triste refrain d'une chanson oubliée.
Aucun corps, aucun mot pour l'émouvoir encore.
Tari comme un vieux sein, menant à la famine, toute bouche en attente, de désir ou de faim.
Déjà l'esprit s'égare, les pauvres souvenirs ne s'éternisent plus
Du feu de la veille, des cendres bleues s'envolent au bras d'un feu follet
qui vomit un flot pourpre et déjà presque froid.
qui vomit un flot pourpre et déjà presque froid.
Un enfant-roi présent au devant de la scène,
impose un sursaut, par sa voix et ses battements d'ailes.
Dans la gorge oppressée, une cuillerée de miel venue de fleurs des champs,
inonde au passage, des rues vides de gens.
inonde au passage, des rues vides de gens.
L'interrupteur en panne , les volets restent ouverts!
le coeur dans la pénombre s'offre un sursis ...
le coeur dans la pénombre s'offre un sursis ...